15 octobre 2007.
Mes Chers Cousins,
Triant une masse de courrier, de documents et de prospectus récemment reçue, j'ai la honte de découvrir le bulletin ci-joint. Vous voudrez bien me pardonner un retard que je n'ose évaluer.
Cousin issu de germains, je m'arroge le droit de compter au nombre des " membres bienfaiteurs " de votre sympathique association.
Bien amicalement aux Jaillard (Certains, parmi les plus anciens, se souviennent-ils d'avoir admis dans leurs jeux, à La Martinière, un petit Philippe Ripert, dans le courant des étés 1941-1942 ? Personnellement, je n'ai rien oublié !),
Philippe RIPERT.
22 octobre 2007.
Mon Cher Cousin,
Merci de ton chèque pour la Gazette et ton mot évoquant nos souvenirs de jeunesse.
Bien sûr que je me rappelle nos visites pendant les années de guerre, en particulier à Yenne ou à La Martinière ! Tu devais être impressionné par le nombre de cousins qui séjournaient là. Pour nous, ces années d'été passées à La Martinière sont un souvenir inoubliable.
Étudiant à Paris, j'ai rencontré plusieurs fois ta tante Charlotte à son restaurant de La Flamberge. Elle m'impressionnait parce que, quoique grand, elle me dominait.
Reçois avec les tiens toutes les amitiés de tes cousins lyonnais.
Charles JAILLARD.
In La gazette de l'île Barbe n° 71
Hiver 2007