Bienheureux

Frédéric

Ozanam

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Cousin issu de germains de notre trisaïeul, Frédéric Ozanam a toujours eu sa place dans notre mémoire familiale. Béatifié le 22 août 1997 à Paris, il en a trouvé une au martyrologe de l'Eglise universelle. En effet, son rayonnement dépasse les limites, non seulement de sa famille, mais aussi de son pays et de son temps.

Aussi a-t-il été l'objet d'une abondante bibliographie, inaugurée sitôt sa mort par le recueil de ses oeuvres complètes et poursuivie jusqu'à nos jours notamment par les Cahiers Ozanam de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. On a même publié, non seulement un ouvrage entier de bibliographie [GALOPIN], mais encore un ouvrage spécialement consacré à trois de ses biographes [ÉCULLY] !

La Gazette ne peut certes pas reproduire tous ces documents, ni même leur bibliographie exhaustive. Elle publie par priorité les témoignages inédits ou peu accessibles, les documents particulièrement significatifs ou relatifs à notre parenté, les contributions rédigées par nos cousins.

La bibliographie publiée dans ce supplément est elle-même lacunaire. Mais il a encore paru nécessaire d'y signaler par une composition en caractères gras les documents les plus significatifs, c'est-à-dire originaux par leur contenu, rédigés par des témoins directs ou faisant référence par leur exhaustivité. Auparavant, ce supplément reprend l'article de votre serviteur sur les liens familiaux entre Frédéric Ozanam et les Jaillard, revu et complété à partir de celui déjà publié par la Gazette [n° 30]. Entre cet article et la bibliographie, un florilège évoque enfin la pensée de Frédéric Ozanam. Souhaitons qu'il donne à nos cousins le désir de découvrir tel ou tel aspect de sa personnalité, de lire tel ou tel article de sa bibliographie, d'imiter tel ou tel trait de son action.

Pierre JAILLARD.

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  Frédéric Ozanam et les Jaillard

Frédéric Ozanam a été béatifié le 22 août 1997 à Notre-Dame de Paris par le pape Jean-Paul II. Sa fète a été fixée le 9 septembre, lendemain de l'anniversaire de sa mort, le 8 septembre 1853, qui tombait le jour de la Nativité de la Vierge. C'est évidemment un événement familial majeur, même si Jean-Paul II a béatifié en vingt ans plus de "serviteurs de Dieu" que l'ensemble des autres papes en vingt siècles...

Genèse d'une béatification

Théologiquement, la béatification consiste à déclarer qu'une personne défunte jouit de la béatitude éternelle des justes auprès de Dieu. Elle autorise les fidèles à lui rendre un culte liturgique public. Formellement, elle peut être décidée par le pape dès lors que cette personne a été déclarée vénérable {c'est-à-dire que ses vertus ont été reconnues héroïques après une procédure contradictoire} et qu'elle a accompli un miracle. Le pape peut ensuite canoniser un bienheureux dès lors qu'un deuxième miracle lui est reconnu. Le procès informatif ordinaire pour l'introduction de la cause, commencé le 30 novembre 1924, 71 ans après la mort de Frédéric Ozanam, fut établi du 10 juin 1925 au 8 juin 1928 à Paris.

Les volumineux écrits de Frédéric Ozanam furent examinés théologiquement par la Congrégation pour les causes des saints et approuvés par décret du 11 novembre 1949. Le procès apostolique, ordonné par décret du 12 janvier 1954, fut établi du 30 septembre 1955 au 6 juin 1956 à Rome. Les deux procès furent approuvés le 17 janvier 1962.

Leur matière paraissant cependant insuffisante, l'Office historico-hagiographique de la Congrégation pour les causes des saints rédigea du 12 octobre 1973 au 9 juillet 1980 une enquête de plus de 1.200 pages, concluant "que la personnalité du Serviteur de Dieu ne se révèle pas seulement comme l'une des plus grandes de l'Église française du XIXe siècle, mais comme l'une des plus insignes du monde laïc catholique." Après la phase finale de discussion sur les vertus, le décret du 6 juillet 1993 a reconnu leur héroïcité et a proclamé Frédéric Ozanam vénérable.

Enfin, le décret du 25 juin 1996 a reconnu un miracle obtenu le 2 février 1926 par l'intercession de Frédéric Ozanam, par lequel Fernando Luiz Benedicto Ottoni, brésilien alors âgé de 18 mois et toujours vivant aujourd'hui, a guéri d'une diphtérie foudroyante. 

Les Ozanam et les Jaillard

Frédéric Ozanam était cousin issu de germains de Louis Jaillard, grand-père d'Henri Jaillard, Lison [Louise] de Raucourt et Magdeleine Lepercq.

Lui-même habitant Paris, où il enseignait à la Sorbonne, ses cousins Jaillard (surtout Pierre puis Louis) prenaient soin, après la mort de ses parents, de sa famille et de ses intérêts restés lyonnais, et notamment de son frère Charles. Le 17 septembre 1852, il écrivait à celui-ci : "Il faudrait écrire à Mlle Julie Jaillard, qui a du coeur et de la tête, et qui est peut-être la parente la plus capable de découvrir pour Isaure [Couyère] une bonne position. J'insiste sur ce point : c'est toujours du côté des Jaillard que nous avons trouvé des lumières et de l'appui dans les jours mauvais. Ma cousine les connaît et a confiance en eux." Et c'est finalement à Cornélie Jaillard-Charmy, "qui les aime beaucoup," qu'il devait écrire lui-même à ce sujet une quinzaine de jours plus tard.

Frédéric Ozanam était particulièrement attaché à son oncle à la mode de Bretagne Pierre Jaillard, tuteur légal de sa grand-mère Marthe Nantas-Richard. Il le choisit pour être témoin de son mariage, le 23 juin 1841 à Saint-Nizier de Lyon. À cette occasion, dans une lettre du 13 mai 1841 à sa fiancée, il jugeait avec humour que ses cousins seraient aussi inaptes que lui à ouvrir le bal...

Pendant la révolution de 1848, c'est à Pierre Jaillard, ancien maire de Saint-Rambert, qu'il demanda le 21 mars des informations sur la crise économique et sociale à Lyon, puis le 9 avril des renseignements sur les chances d'une éventuelle candidature à Lyon aux élections constituantes du 23 avril. Pierre Jaillard lui répondit le 13 avril : "l'opinion de tout ce qui veut l'ordre et le bien à Lyon est que vous devez avoir toute chance favorable, à moins que la cause de la république, telle que nous devons tous la désirer, ne soit irrévocablement perdue." Finalement candidat, il obtint 16.000 voix, qui ne suffirent pas à l'élire.

La mort de Pierre Jaillard

Cependant, il s'affligeait beaucoup de la mauvaise santé de Pierre Jaillard. Ayant appris son extrémité "à la fois par deux lettres, l'une de M. Berloty, l'autre de M. Dufieux," il exprima dans deux lettres du 10 juin 1851, l'une à Alexandre Dufieux, l'autre à Pacôme Jaillard, sa peine et son estime pour "celui de [ses] parents [qu'il] honore et [qu'il] aime le plus," "un parent si cher, celui que dès l'enfance [sa] bonne mère [lui] avait appris à honorer comme le modèle de l'homme de bien et du chrétien, celui qui fut toujours le conseiller, le soutien et l'honneur de [sa] famille."

À Pacôme Jaillard : "Depuis que nous savons son danger et votre chagrin, nous n'avons cesse de le recommander à Dieu le matin et le soir, ma femme, Charles et moi. Aujourd'hui même, je vais à Notre-Dame-des-Victoires demander pour lui les prières de M. Desgenettes et de l'Archiconfrérie. Et maintenant, mon cher cousin, je t'en supplie, donne-moi des nouvelles, ne me laisse pas dans une ignorance qui m'est trop pénible. Dis bien à ta bonne mère, à tes soeurs, à tes frères, la part que je prends à vos douleurs. Comment pourriez-vous en douter, vous qui avez toujours été de moitié dans toutes nos peines ? J'espère que Dieu nous exaucera, mais dans tous les cas, je suis sûr qu'il ne peut avoir que des desseins de miséricordes sur une famille où il est si aimé et si bien servi."

À Alexandre Dufieux : "Ah ! cher ami quelle perte ! Quel homme de bien, quel citoyen utile, et pour mieux dire, quel grand chrétien ! Nous parlons souvent de vertus antiques, nous regrettons de n'en plus voir, et nous en avons sous les yeux. C'est notre faiblesse qui les trouve antiques pour se faire un prétexte de ne les pratiquer plus."

Pierre Jaillard étant mort le 12 juin 1851, le futur bienheureux adressa à sa veuve cette splendide lettre de condoléances, longtemps conservée par la famille Mayet :

"Paris, 17 juin 1851.

" Madame et chère parente,

" Qu'il m'est pénible dans un moment aussi douloureux de ne pas être auprès de vous ! Et que ne donnerais-je pas pour voir la meilleure et la plus chère amie de ma mère, et mes cousines et mes cousins si aimés, quand Dieu les frappe d'un coup dont je connais toute la rigueur ! Vous qui avez pris votre part de toutes nos épreuves, vous que nous avons toujours trouvés si fidèles dans la tristesse comme dans la joie, comment vous dirai-je combien il m'en a coûté de ne pas être là pour rendre avec vous les derniers devoirs à l'homme le plus vénéré de notre famille ! Hélas ! il y a trois semaines, que j'étais bien loin de m'attendre à cette accablante nouvelle ! Et quand j'ai appris vos inquiétudes, j'espérais encore que le danger s'éloignerait comme il s'était éloigné d'autres fois, et que la divine Providence nous conserverait, non pour nous seulement, mais pour le bien public, ce parent dévoué, ce juste, ce grand chrétien. Nous nous étions empressés de solliciter pour lui des prières. Peut-être, disions-nous, Dieu se laissera faire violence et laissera sur la terre un de ces hommes dont les vertus la rendent agréable à ses yeux ! Dieu en a disposé autrement, et pour nous la perte est immense ; mais pour lui votre foi n'a pas besoin que je le dise, pour lui commence le repos qu'il n'a jamais voulu connaître ici-bas, pour lui la gloire, pour lui le bonheur de contempler son Sauveur face à face. Il n'est pas même troublé par le chagrin de vous avoir quittés, car il ne nous quitte pas ; il nous voit, nous tous qu'il aimait ; il nous embrasse tous d'une vue infiniment plus puissante et plus sûre. Il n'abandonne ni la compagne de toute sa vie, ni ses filles si chères ni ses fils ; il aura pour eux des inspirations encore plus sages que tous les conseils qu'il leur donnait sur la terre ; il leur obtiendra des grâces encore plus efficaces que la protection dont il les couvrait. Heureuses, heureuses jusque dans l'amertume de leurs larmes, les familles qui ont leur père au nombre des saints ! Elles grandissent sous sa bénédiction, leurs enfants s'élèvent comme d'eux-mêmes et trouvent leur chemin tout rayé dans la société par le souvenir des vertus paternelles. Plus que toute autre, Madame et chère parente, vous goûterez cette consolation. Vous voyez déjà les leçons et les exemples de M. Jaillard revivre autour de vous, et les regrets de la ville entière vous ont fait voir qu'un nom si respecté ne périra jamais. Ah ! Lyon va me paraître bien triste quand je n'y retrouverai plus celui à qui les miens et moi nous devions tant. Et cependant, le temps me dure de m'y retrouver pour vous dire combien nous sommes touchés de votre douleur. Que ma bonne cousine Julie, que Louis et Pacôme reçoivent aussi l'expression bien tendre de notre amitié ; nous n'oublions point ma cousine Camille et Joseph, les plus malheureux puisqu'ils ont le moins joui d'un si bon père. Ma femme, mes frères, ma belle-mère se joignent à moi pour vous assurer que nous prierons avec vous et pour vous présenter, Madame et chère parente, les plus affectueux respects.

" Votre très humble, très dévoué et bien affligé parent,

 

A.-F. OZANAM. "

Resserrer les liens familiaux

À la génération suivante, Frédéric et surtout Charles Ozanam s'entendaient particulièrement bien avec Pacôme Jaillard, filleul de leur mère. Frédéric faisait son éloge à son père le 24 décembre 1850 : "L'excellent Pacôme est venu nous trouver et nous montrer une fois de plus par sa cordialité et son aimable épanchement combien notre famille de Lyon nous aime encore. Depuis le passage de ce cher cousin, nous avons souvent répété entre nous que vous devez être bien fier d'un tel fils, si chrétien, si affectueux, avec tant de bonne grâce dans sa personne et dans toutes ses manières. Nos dames ne tarissent point sur son compte et je crois que si Mme Jaillard les entendait, elle aurait peine à défendre son coeur d'un sentiment d'orgueil que Dieu, du reste, pardonne aux mères."

Frédéric Ozanam était reconnaissant à Julie Jaillard de la part qu'elle prenait à ses oeeuvres charitables, comme il l'exprime dans des lettres du 10 avril et du 25 juin 1843. Mais il caressait aussi un projet concernant Camille Jaillard. Le 21 avril 1853, il écrivait à son frère Charles : "Ton dernier envoi de Paris m'a bien affligé. J'ai vu fuir une de mes plus chères espérances, celle d'une alliance qui aurait resserré nos noeuds de famille avec les Jaillard. Il me semblait que tout était là : avant tout la piété, les traditions communes, une fortune modeste, et une personne aimable et distinguée. Espérons que Dieu ne le voulait pas puisque tu ne l'as pas voulu." Ce jour même, Camille signait devant Maître Berloty son contrat de mariage avec Albin Mayet, qu'elle devait épouser le 25 avril. Frédéric en félicita sa mère le 8 mai de San Jacopo, près Livourne, en Italie : "Je n'ai pas encore le plaisir de connaître M. Mayet, mais quel bien ne dois-je pas penser de ce jeune homme puisque vous l'avez jugé digne d'être appelé votre fils !"

Il ne devait jamais revoir Lyon ni sa famille. Il mourut à Marseille, au retour de ce dernier voyage en ltalie, et fut enterré dans la crypte de l'institut catholique de Paris. Très dévoué au souvenir de son cousin issu de germains, Pacôme Jaillard fut le secrétaire de la commission établie à Lyon après la mort de Frédéric pour l'édition de ses oeuvres complètes, sous la présidence du Dr Joseph Arthaud. Bien que notre trisaïeul Louis Jaillard, légitimiste, ne partageât pas les idées républicaines de son cousin issu de germains, Frédéric Ozanam laissa dans notre famille, au fil des générations, un souvenir très vif, source de fierté mais aussi d'exigence.

Pierre JAlLLARD.

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Florilège

 

Entre le passé où sont nos souvenirs, et l'avenir où sont nos espérances, il y a le présent où sont nos devoirs.

Souvenirs

Un des plus doux moments de ce voyage de Suisse, c'est la demi-heure que nous avons passée à Échallens. Nous n'avions ni calculé ni prévu cette station de notre pèlerinage. La chose s'était arrangée d'elle-même, comme tout ce qui s'arrange bien. Échallens se trouvait à moitié chemin du trajet de Lausanne à Yverdun. Je me rappelais que c'était le lieu où mon grand-père s'était retiré pendant les derniers mois de la Terreur, et dont ma mère m'avait si souvent parlé. Que n'aurais-je pas donné pour connaître la maison qu'habita ma famille! Du moins je voyais les petits bois et les jolis sentiers où ils allaient cueillir des fraises. L'oncle chartreux marchait le premier en éclaireur, et, quand il avait découvert un nid de fraises, il appelait ses joyeuses nièces : " Venez, mesdemoiselles, c'est tout rouge ". Et l'on revenait avec des paniers tout pleins de ces jolis petits fruits qu'on mangeait avec du lait excellent. J'ai visité l'église où ma bonne mère a fait sa première communion, sous la direction àe ce bon curé, qui lui répétait : " Nous irons les deux, nous irons les deux en paradis ". Je l'ai trouvée comme ma mère me l'avait décrite, partagée, hélas! entre les deux cultes, le sanctuaire réservé aux catholiques et fermé par une grille de bois, la nef commune aux catholiques et aux protestants : d'un côté, la chaire du curé et le baptistère ; de l'autre, la chaire du pasteur et la table de la Cène. Cette chère église est bien misérable ; cependant j'y ai prié avec plus d'émotion que de coutume ; j'y ai remercié Dieu des grâces qu'il avait faites en ce lieu même à la petite exilée. J'ai prié pour ma bonne mère, parce que c'est un devoir de prier pour les morts; mais, comme je la crois heureuse et puissante dans le ciel, je lui ai demandé de veiller sur nous, de nous aider à finir heureusement ce voyage trop long, et surtout d'obtenir à ses enfants quelquesunes de ses douces vertus. Ma femme et ma belle-mère priaient avec moi, et ma petite Marie s'agenouillait bien sagement devant la grille du sanctuaire. Amélie a voulu cueillir quelques fleurs sur la petite éminence où s'élève l'église. Ces fleurs ne sont pas celles que notre bonne mère foulait en allant à la messe, mais elles leur ressemblent, et plaise à Dieu que nous lui ressemblions autant! (Notes de voyage: Échallens, 21 juin 1847, in Lettres de Frédéric Ozanam, 1925, tome II, p. 168-169.) 

Et moi, ma bonne tante, je suis père ! je suis le dépositaire et le gardien d'une créature immortelle. J'aspire à voir son baptême qui ne peut avoir lieu que demain; ensuite je suivrai un à un tous ses développements, je verrai naître toutes les grâces de son enfance, et pendant que je la presserai dans mes bras, je penserai qu'il y a dans elle une âme faite pour Dieu et pour l'éternité. Ces réflexions me touchent jusqu'aux larmes, et me confondent. Ah ! quel moment que celui où, agenouillé au pied du lit de mon Amélie, j'ai vu son dernier effort et, en même temps, mon enfant paraître au jour! (Lettre à Louis et Benoîte Haranéder, 24 juillet 1845.)

Les douceurs de la famille sont bien précieuses, le sang a des droits innés et imprescriptibles ; mais l'amitié a des droits acquis et sacrés, des jouissances qui ne se suppléent pas; les parents et les amis sont deux sortes de compagnons que Dieu nous a donnés pour faire la route de la vie, la présence des uns ne peut faire oublier l'absence des autres. (Lettre à François Lallier, 23 novembre 1835.)

Espérances

Le premier besoin de l'homme, le premier besoin de la société, ce sont les idées religieuses : le coeur a soif de l'infini. (Lettre à Hippolyte Fortoul et Claude Huchard, 15 janvier 1831.)

J'ai connu les doutes du siècle présent, mais toute ma vie m'a convaincu qu'il n'y a de repos pour l'esprit et le creur que dans la foi de l'Église et sous son autorité. (Testament, 23 avril 1853.)

Je crois au culte comme expression de la foi, comme symbole de l'espérance, comme réalisation terrestre de l'amour de Dieu. A cause de cela je pratique selon mes forces et selon les habitudes qui m'ont été données dès l'enfance et je trouve dans la prière, dans les sacrements, l'indispensable soutien de ma moralité au milieu des tentations d'une imagination dévorante et d'un monde hallucinateur. (Lettre à Ernest Falconnet, 21 juillet 1834.)

L'espérance ! Le tort de beaucoup de chrétiens de nos jours, c'est d'espérer peu. C'est à chaque combat, à chaque obstacle, de croire à la ruine de l'Église. Ce sont les apôtres dans la barque pendant l'orage : ils oublient que le Sauveur est au milieu d'eux.

Dans ces temps de désunion, on est trop heureux de tout ce qui peut unir, et quand le plus grand nombre des hommes prennent tant de peine pour se haïr, comment ne tâcherions-nous pas de nous aimer ? C'est surtout en présence de ces haines et de ces ressentiments que l'on commence à comprendre pourquoi Notre Seigneur a promis d'être au milieu de ceux qui se rassembleront en son nom. Puisqu'il est au milieu de nous, que nous reste-t-il à craindre, et ne serons-nous pas bien gardés contre les périls qui nous entourent ? (Lettre à Prosper Dugas, 12 juillet 1849.)

L'amour hors du christianisme est une idole : dans le christianisme, il se purifie et son nom de baptême est charité ; l'amour sanctifie ceux qu'il unit.

Nous sommes tous comme ces ouvriers des Gobelins qui, suivant les plans d'un artiste inconnu, s'appliquent à assortir les fils de diverses couleurs sur le revers de la trame. Ils ne voient pas le résultat de leur travail. C'est seulement quand tout est terminé qu'ils peuvent admirer à l'aise ces fleurs, ces figures, ces scènes splendides et dignes des palais des rois. Ainsi de nous, mes amis : nous travaillons, nous souffrons ici-bas, sans en voir le terme ni le fruit. Mais Dieu le voit, et, quand il nous relève de notre tâche, il montre à nos regards émerveillés ce que Lui, le grand artiste, invisible et présent partout, a fait de toutes ces fatigues, qui nous semblent si stériles, et il daigne placer dans son grand palais ces faibles oeuvres de nos mains. (Discours à des ouvriers, 1848.)

Je m'efforce de m'abandonner avec amour à la volonté de Dieu et je dis, malheureusement de bouche bien plus que de coeur : Volo quod vis, volo quomodo vis, volo quamdiu vis, volo quia vis (Je veux ce que vous voulez, je le veux comme vous le voulez, je le veux tant que vous le voulez, je le veux parce que vous le voulez). (Lettre à Salvat Franchisteguy, 3 avril 1853.)

Devoir de charité

La seule règle à poser pour les actions humaines, la seule loi qui doive les gouverner, c'est la loi d'amour. (Lettre à Auguste Materne, 19 avril 1831.)

Il semble qu'il faille voir pour aimer et nous ne voyons Dieu que des yeux de la Foi et notre Foi est si faible ! Mais les hommes, mais les pauvres, nous les voyons des yeux de la chair, ils sont là et nous pouvons mettre le doigt et la main dans leurs plaies et les traces de la couronne d'épines sont visibles sur leur front : et ici l'incrédulité n'a plus de place possible et nous devrions tomber à leurs pieds et leur dire avec l'Apôtre : Tu es Dominus et Deus meus. " Vous êtes nos maîtres et nous serons vos serviteurs, vous êtes pour nous les images sacrées de ce Dieu que nous ne voyons pas, et ne sachant pas l'aimer autrement, nous l'aimons en vos personnes. " (Lettre à Louis Janmot, 13 novembre 1836.)

L'ordre de la société repose sur deux vertus : justice et charité. Mais la justice suppose déjà beaucoup d'amour ; car il faut beaucoup aimer l'homme pour respecter son droit, qui borne notre droit, et sa liberté, qui gêne notre liberté. Cependant la justice a des limites ; la charité n'en connaît pas.

La politique ne tient compte que de la justice. Elle frappe, elle retranche, elle divise. La charité au contraire tient compte des faiblesses, elle cicatrise, elle réconcilie, elle unit. La charité est de tous les lieux et de tous les temps.

Notre devoir à nous, chrétiens, est (...) de faire (...) que l'égalité s'opère autant qu'elle est possible parmi les hommes ; (...) que la charité fasse ce que la justice seule ne saurait faire. (Lettre à François Lallier, 5 novembre 1836.)

Resterons-nous donc inertes au milieu du monde qui souffre et qui gémit ? Non, il nous est ouvert une voie préparatoire : avant de faire le bien public, nous pouvons essayer de faire le bien de quelques-uns, avant de régénérer la France, nous pouvons soulager quelques-uns de ses pauvres. Aussi je voudrais que tous les jeunes gens de tête et de creur s'unissent pour quelque oeuvre charitable, et qu'il se formât par tout le pays une vaste association généreuse pour le soulagement des classes populaires. (Lettre à Ernest Falconnet, 21 juillet 1834.)

Le lien le plus fort, le principe d'une amitié véritable, c'est la charité ; et la charité ne peut exister dans le coeur de plusieurs sans s'épancher au dehors ; c'est un feu qui s'éteint faute d'aliments, et l'aliment de la charité, ce sont les bonnes oeuvres. (Lettre à Léonce Curnier, 4 novembre 1834.)

Je voudrais enserrer le monde entier dans un réseau de charité.

La charité ne doit jamais regarder derrière elle, mais toujours devant, parce que le nombre de ses bienfaits passés est toujours très petit et que les misères présentes et futures qu'elle doit soulager sont infinies.

Devoir d'engagement

La question qui divise les hommes de nos jours n'est plus une question de formes politiques, c'est une question sociale, c'est de savoir qui l'emportera de l'Esprit d'Égoïsme ou de l'Esprit de Sacrifice ; si la société ne sera qu'une grande exploitation au profit des plus forts ou une consécration de chacun pour le bien de tous et surtout pour la protection des faibles. (Lettre à Louis Janmot, 13 novembre 1836.)

Dieu ne fait pas de pauvres. (...) C'est la liberté humaine qui fait les pauvres. (...) La même autorité qui nous annonce qu'il y aura toujours des pauvres parmi nous est celle aussi qui nous ordonne de tout faire pour qu'il n'y en ait plus.

Oui, sans doute, c'est trop peu de soulager l'indigent au jour le jour ; il faut mettre la main à la racine du mal, et par de sages réformes diminuer les causes de la misère publique. (1848.)

Il faut porter une main hardie sur cette plaie du paupérisme. (...) J'ai peur que, si la propriété ne sait pas se dépouiller librement, elle ne soit tôt ou tard violemment compromise. Je persiste à comparer la révolution de février à la chute de l'Empire romain, et je ne puis oublier que les barbares, ces prolétaires d'alors, forcèrent les anciens habitants de l'Empire au partage des terres. (...) Je crois comme vous qu'il faut enfin s'occuper du peuple, infiniment plus qu'on ne l'a fait par le passé. Les plus chrétiens se sont trompés en se croyant quittes envers le prochain quand ils avaient pris soin des indigents, comme s'il n'y avait pas une classe immense, non pas indigente, mais pauvre, qui ne veut pas d'aumônes, mais des institutions. (Lettre à Alexandre Dufieux, 31 mai-2 juin 1848.)

J'ai cru, je crois encore à la possibilité de la démocratie chrétienne, je ne crois même à rien autre en matière de politique. (Lettre à Théophile Foisset, 24 septembre 1848.)

C'est le christianisme qui sera l'âme de la liberté. (Cours en Sorbonne, 23 janvier 1849.)

Le christianisme n'a point fait l'humanité mais il l'a refaite ; il ne crée pas, il transforme. (...) Le christianisme réforme l'homme par la reconnaissance de l'esprit, la famille par le droit des faibles, la cité par la conscience publique. (...) Le christianisme n'a rien aboli, il a tout régénéré. 

La foi, la charité des premiers siècles ! Ce n'est pas trop pour notre âge. Ne sommes-nous pas, comme les chrétiens des premiers temps, jetés au milieu d'une civilisation corrompue et d'une société croulante ? (...) C'est à nous catholiques de ranimer la chaleur vitale qui s'éteint ; c'est à nous de recommencer le grand reuvre de la régénération. (Lettre à Léonce Curnier, 23 février 1835.)

Devoir de vérité

Ah ! quelle époque orageuse mais instructive ! Nous y périrons peutêtre, mais ne nous plaignons pas d'y être venus. Apprenons-y beaucoup. Apprenons-y principalement à défendre nos convictions sans haïr nos adversaires, à aimer ceux qui pensent autrement que nous, à reconnaître qu'il y a des chrétiens dans tous les camps et que Dieu peut être servi aujourd'hui comme toujours ! Plaignons-nous moins de notre temps et plus de nous-mêmes : soyons moins découragés, mais soyons meilleurs. (Lettre à Alexandre Dufieux, 9 avril 1851.)

Nous parlons souvent de vertus antiques, nous regrettons de n'en plus voir, et nous en avons sous les yeux. C'est notre faiblesse qui les trouve antiques pour se faire un prétexte de ne les pratiquer plus. (Lettre à Alexandre Dufieux, 10 juin 1851.)

La vertu sans la science est insuffisante.

Je suis de l'Église et de l'Université tout ensemble et je leur ai consacré sans hésitation une vie qui sera bien remplie si elle honore Dieu et qu'elle serve l'État. Je veux concilier ces devoirs, quelle qu'en semble la difficulté. (Lettre à Jean-Baptiste Soulacroix, 5 avril 1843.)

Si quelque chose me console de quitter la terre avant d'avoir fait ce que j'ai voulu, c'est que je n'ai jamais travaillé pour les louanges des hommes, mais pour le service de la vérité.

Nous n'avons pas deux vies, l'une pour chercher la vérité, l'autre pour la pratiquer. (...) Croire, c'est vouloir. (Lettre à Charles Hommais, 16 juin 1852.)

Frédéric OZANAM.

 

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Bibliographie

 

Les documents les plus significatifs sont composés en caractères gras.

Oeuvres complètes de Frédéric Ozanam

Ode " De vitae brevitate " (Sur la brièveté de la vie), 1826, in LEGEAY, p. 149-151.
Ode " Piae mentis propositum ", 1826, in LEGEAY, p. 154.
Ode " Regina claris sideribus nitens " (O reine couronnée des brillantes étoiles des cieux), 1826, in LEGEAY, p. 13-15.
Ode l'Ascension de Notre Seigneur Jésus-Christ, 1827, in LEGEAY, p. 21-22.
" Lettre sur la traite des nègres ", in l'Abeille, 1829.
" Réflexions sur la doctrine de Saint-Simon par un catholique ", in le Précurseur, journal constitutionnel de Lyon et du Midi, Lyon et Paris, 11 et 14 mai 1831. Tiré à part, Périsse, Lyon. In Oeuvres complètes, 1859, tome VII, p. 271-357.
Articles sur l'Étude sur texte d'Isaie, sur le cours d'Écriture sainte de l'abbé Frère en Sorbonne et sur les saint-simoniens, in la Tribune catholique, 12 juin 1833, 6 juillet 1833, 14 juillet 1833, 28 juillet 1833.
Article in la Revue européenne, tome VIII, 30 septembre 1833, p. 5-41.
Compte rendu de Mes Prisons, de Silvio Pellico, in la Revue européenne, tome VIII, février 1834, p. 758.
" Du progrès par le christianisme ", in la Revue européenne, 2e série, tome I, avril 1835, p. 1-23.
" Deux Chanceliers d'Angleterre : Bacon de Verulam et saint Thomas de Cantorbery ", in la Revue européenne, 2e série, tome II, juillet 1835, p. 1-40 et octobre 1835, p. 447-500. Tiré à part, Debécourt à Paris et Périsse frère à Lyon, 1836, in-8°, III et 252 pages.
Thèse de doctorat en droit, imprimerie Bailly, juin 1836. Réédition par Charles Ozanam, avec avant-propos, à l'occasion du centenaire de la Société de Saint-Vincent-de-Paul, Paris, 1934, in-4°, 68 pages.
" M. Ampère ", notices, in l'Université catholique, tome I, juin 1836, p. 566-568.
" Droit public ; des biens de l'Église ", in l'Univers religieux, 20 et 27 avril, 4 mai, 1er et 3 août 1837.
" Origines du droit français, cherchées dans les symboles et formules du droit universel par M. Michelet ", in l'Univers religieux, 27 septembre et 1er octobre 1837.
" La liberté et les lois ", in l'Univers, 4 et 12 décembre 1838, 12, 17 et 26 juillet 1839. Sous le titre " Du protestantisme dans ses rapports avec la liberté ", in Oeuvres complètes, 1859, tome VIII, p. 239-241. Traduction anglaise, Protestantism and Liberty, Washlomme, Londres, 1874, in-8°, 32 pages.
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Traduction des Lettres pour servir à l'éducation d'une jeune personne, de Miss Chapone, avec introduction, Victor-Amédée Waille, Paris, décembre 1844.
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Compte rendu de l'Histoire de saint Augustin, par Poujoulat, in le Correspondant, tome XI, 1845, p. 266-285.
Compte rendu de l'Essai sur le panthéisme dans les sociétés modernes, par l'abbé Henri Maret, in le Correspondant, tome XII, 1845, p. 920-929.
" Études sur les peuples germaniques avant le christianisme ", in le Correspondant : " I. L'état de la question ", tome XII, 1845, p. 930-945 ; - " II. La religion ", tome XIII, 1846, p. 314-352 ; - " III. Les lois ", tome XIII, 1846, p. 774-784 ; - " IV. Les langues des Germains ", tome XIV, 1846, p. 358-375 ; - " V. La poésie ", tome XIV, 1846, p. 669-697.
Études germaniques : I. les Germains avant le christianisme ; recherches sur les origines, les traditions, les institutions des peuples germaniques et sur leur établissement dans l'Empire romain, Lecou, Paris, 1847. In Oeuvres complètes, tome III. -II. la Civilisation chrétienne chez les Francs ; recherches sur l'histoire ecclésiastique, politique et littéraire des temps mérovingiens et sur le règne de Charlemagne, Lecou, Paris, 1849.
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" Saint Thomas et l'amour chrétien ", entre 1847 et 1850, in Oeuvres complètes, tome IX, p. 557-559.
" M. Ballanche ", notes écrites à l'occasion de la notice de Jean-Jacques Ampère sur Pierre-Simon Ballanche, 1848, in Mélanges, tome II, p. 83-93.
" Les dangers de Rome et ses espérances ", discours au Cercle catholique, in le Correspondant, tome XXI, 10 février 1848, p. 412-435.
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" Aux gens de bien ", in l'Ère nouvelle, n° 151, 16 septembre 1848, 15 pages. Tiré à part. In Oeuvres complètes, tome VII, p. 246 sq.
" Les causes de la misère ", in l'Ère nouvelle, n° 180, 14 octobre 1848, 11 pages.
" De l'assistance qui humilie et de celle qui honore ", in l'Ère nouvelle, n° 187, 21 octobre 1848.
" De l'aumône ", in l'Ère nouvelle, n° 248, 24 décembre 1848, 5 pages
" L'attente et l'action ", in le Correspondant, tome XXI, 1848, p. 796-800.
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" Aumônes pour Notre Saint Père le pape Pie IX ", in l'Ère nouvelle, 2e année, n° 10, 11 janvier 1849, 6 pages.
Discours à l'assemblée générale de la Société de Saint- Vincent-de-Paul, 22 avril 1849, in Bulletin de la Société de Saint-Vincent-de-Paul, tome I, 1849.
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La Civilisation au Ve siècle, cours de l'année scolaire 1849-1850, Charles Douniol, 1852, 2 volumes : I. publié sous le titre " Du progrès dans les siècles de décadence " in le Correspondant, tome XXX, 1852, p. 257-321. - II. publié sous le titre " Etudes sur la décadence romaine : I. le paganisme ", in le Correspondant, tome XXIX, 1852, p. 539-577.
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Documents inédits pour servir à l'histoire littéraire de l'Italie, depuis le VIIIe siècle jusqu'au XIIIe, avec des recherches sur le Moyen Âge italien, Lecou, Paris, 1850, in-8°, VII et 416 pages. Nouvelle édition, Welter, Leipzig et Paris, 1897.
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Le Livre des malades ; lectures tirées de l'Écriture sainte, hiver 1853, Lecou, Paris, 1857, in-18, XXVIII et 202 pages. Poussielgue-Rusand, Paris, 1860, in-18, 251 pages. Falque, Paris, 1913, in-32, 202 pages, avec préface par l'abbé Augustin-Joachim Corbierre.
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Les Fioretti (les Petites Fleurs) de saint François d'Assise, traduction, publiée par Francis Jammes, Payot, 1928. Jean de Bonnot, Paris, 1974, avec des illustrations sur bois de Paolo Molnar.
L'Esprit de Frédéric Ozanam, pensées sur la vie chrétienne, recueillies par Mgr Jean-Joseph Villepelet, évêque de Nantes, édition Égloff, Paris, 1949, 158 pages. Traduction italienne, Il Pensiero di Ozanam, Turin, 1950. Traduction espagnole, Pensiamentos de Frederico Ozanam, Buenos-Aires, 1951.
Lettres de Frédéric Ozanam : I. Lettres de jeunesse (1819-1840), publiées avec le concours des descendants d'Ozanam par Léonce Célier, Jean-Baptiste Duroselle et Didier Ozanam, Bloud et Gay, Paris, 1960, 461 pages. Réimpression, Klincksieck, Paris, 1997. - II. Premières années à la Sorbonne (1841-1844), édition critique de Jeanne Caron, préface de Jean-Baptiste Duroselle, Celse, Paris, 1971, 25x17 cm, 655 pages. III. L'engagement (1845-1849), Celse, Paris, 1978, 640 pages. - IV. Les dernières années (1850-1853), Klincksieck, Paris, 1992, 720 pages. - V. Supplément et tables, Klincksieck, Paris, 1997, 248 pages.
 

Références sur Frédéric Ozanam

 
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" Frédéric Ozanam ", in Cahiers Ozanam, numéro spécial, janvier-juin 1974, 207 pages : contributions de Amin A. de Tarrazi, "Ozanam vit encore !" ; Didier Ozanam, "Frédéric Ozanam" ; Jacques Dupuis, "Ozanam, l'amitié et l'amour conjugal" ; Jean Damel, "Ozanam professeur" ; Jean-M. Vermander, "Ozanam écrivain" ; Monique Lebailly, "Ozanam et la science" ; "Ozanam et la politique" ; Robert Garric, "Ozanam et l'engagement" ; Léonce Célier, "Ozanam et la Société de Saint-Vincent-de-Paul" ; "Ozanam et Soeur Rosalie" ; Jeanne Caron, "Regard sur la prière d'Ozanam" ; Jean Guitton, "Sainteté d'Ozanam" ; Mgr Gabriel Matagrin, "Actualité d'Ozanam" ; Patrick-F. Drevet, "Un jeune s'interroge sur Ozanam" ; Raoul Follereau, "Ozanam a toujours vingt ans !" ; Gilbert Cesbron, "Frère Frédéric, prends-moi par la main" ; bibliographie, p. 198-202.
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Références sur la famille Ozanam

 
Frédéric BRÉMARD, Histoire de la famille Ozanam, Paris, 1972, archives Laporte, dactylographié et polycopié.
Albert FLORY, le Docteur Charles Ozanam, Paris, 1944, in-12, 167 pages.
Henri JAILLARD, les Familles Jaillard et Neyrat, Caluire-et-Cuire, 1965.
Henri et Pierre JAILLARD, " la famille Richard ", in la Gazette de l'île Barbe, supplément au n° 31, hiver 1997, 28 pages, index.
J. Van AGT, Marie Nantas, mère de Frédéric Ozanam, écrivain, philosophe et historien, collection " les grands hommes et leurs mères ", Paris, 1954. 2e édition, 1958, in-16, 154 pages.

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in La gazette de l'île Barbe Supplément au n° 34

automne 1998

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